Voici les résultats du 15 km :

Laurent COLIN 1er en 51"24
Mickaël PREDOUR 16ème en 57"25 5ème M1
Karim GANAI 34ème en 59"56 14ème M1
Gwénaël TANGUY 54ème en 1h01"38 25ème M1
Antoine PARET 58ème en 1h02"24 22ème SE
Régis CANN 68ème en 1h03"07 30ème M1
Mikaël RESPRIGET 104ème en 1h05'48 41ème M1
Sandrine BONIFAY 105ème en 1h05"51 2ème M1
Olivier JEZEQUEL 106ème en 1h05"53 42ème M1
Michel QUEFFELEAN 227ème en 1h13"29 45ème M2
Christophe BERTHEVAS 236ème en 1h13"56 71ème M1
Jean Luc KERNEIS 401ème en 1h25"31 82ème M2

Article du télégramme du 19 février

Foulées landernéennes Colin : « A mon allure marathon »

Laurent Colin s'est facilement imposé sur le 15 km en devançant Gaël Malacarne de deux minutes.

En ce dimanche matin bien humide, ils étaient 600 à prendre le départ des Foulées landernéennes, 2e étape du Challenge de l'Elorn. Un joli succès donc pour cette épreuve toujours très appréciée pour la qualité de son organisation et sa belle ambiance. Sur la course masculine, Laurent Colin, dont les yeux sont rivés sur le Marathon de Paris qui aura lieu en avril, l'emporte haut la main. « Je suis parti dès le début, l'objectif c'était d'aller à mon allure marathon ». Le Morlaisien Gaël Malacarne est resté dans son sillage durant trois kilomètres, avant de lâcher prise. « Je savais que ça serait dur de le battre, c'est un spécialiste de la route, moi je suis plutôt trail ». Le lauréat du jour se réjouissait de cette victoire qui va lui donner du baume au coeur pour poursuivre la dure préparation de l'échéance parisienne.

« Landerneau, c'est toujours génial »

Du côté féminin, c'est une fan de l'épreuve landernéenne qui l'a emporté. Christine Musset affectionne tout particulièrement la variété de ce parcours avec son alternance de côtes et de descentes. « J'ai bien géré ma course, j'ai été à l'aise tout le long, j'ai pris énormément de plaisir ». De retour à la compétition après une opération du genou, en juin dernier, elle a de belles ambitions pour le Challenge de l'Elorn cette saison. Tout comme sa dauphine, Valérie Léon, moins à l'aise sur les terrains glissants, qui n'a pas réussi à la suivre.

« Je pense qu'honnêtement je ne suis pas faite pour les cailloux et la boue, ça m'a nettement desservie », commentait-elle à l'arrivée. Fort heureusement, la pluie ne sera sans doute pas toujours de la partie sur les neuf étapes du Challenge restantes.